Pasteur Jacques COMPAORE

Aujourd’hui plus que jamais, notre monde, le monde des humains va mal. En effet, le monde actuel est en proie à toute sortes de fléaux.

Sur le plan politique, aucun Etat n’est épargné par l’instabilité politique et mal-gouvernance. Même ceux qu’on considère généralement comme étant des vielles démocraties sont passées sous la gouverne de l’hydre.

Sur le plan économique, la situation n’est point meilleure. Car les stigmates de la crise sont partout visibles : chômage endémique, inflation galopante et incontrôlée.

Sur le plan social, la menace du terrorisme internationale n’est plus à démontrer. Pire, les fondements de la société humaine sont remis en question par le phénomène de la banalisation de certains vices de la société. En effet, de nos jours, les mariages entre personne de même sexe sont devenus monnaie courante.

Somme toute, la société des hommes est malade et donne les signes qu’elle va à sa perte. Car depuis un certain temps et dans la plupart des cas, ceux qui gouvernent ce monde le font, du moins, selon la sagesse humaine et non par une sagesse inspirée par le Créateur. Pourtant, la Parole de Dieu avertit : « Heureuse est la nation dont l’éternel est Dieu ».

C’est donc la raison pour laquelle, les responsables de la Mission Biblique Internationale d’Intercession et d’Evangélisation du Burkina sous la direction de leur père spirituel, à savoir le Pasteur Evangéliste Patrice TIENDREBEOGO, ont décidé, pour le séminaire de fin d’année 2017 événement qui clôture chaque année les activités spirituelles de cette Eglise ; le thème suivant : « Jésus-Christ, la guérison des nations ».

C’est ce thème, on ne plus évocateur que d’éminents homme de Dieu, à l’occurrence le Pasteur Jacques COMPAORE de l’Eglise des Assemblés de Dieu (AD) de la Patte d’Oie et l’Evangéliste Joël TOURE, Directeur Général de UBA Burkina, se sont relayés pour décortiquer en sous thèmes aux côtés du père fondateur de la MBIIE pour le bonheur des âmes indigentes et, surtout, de tous les chrétiens qui ne se sont pas fait prier pour venir des quatre coins du Burkina et hors du Burkina pour non seulement fraterniser en Jésus-Christ, mais encore et surtout pour renouveler leur communion avec le seigneur, qui est la force et la victoire de tout chrétien….lire la suite dans le journal « L’épée et la truelle N°028/2018 »